13.07.2025 Barrage d’Emosson – Col Fenestral – Barrage d’Emosson 

Cheffe de course: Elisabeth D.
 Participants : 5+1 – Christiane M, Jérôme C, Michelle G, Natalia D, Thomas N + Elisabeth D
 
Ce matin d’été est aussi frais que les gouttes de pluie qui tombent dès les premiers pas de notre randonnée.
Nous laissons de côté l’idée initiale de la Pointe de la Terrasse pour essayer de trouver une météo plus clémente sur l’autre versant du barrage. Tout le petit groupe s’en va gaiement direction le col de Fenestral.
Après une bonne heure de marche nous faisons une pause avant d’entamer la longue et pénible ascension du col.
La pluie n’est maintenant que souvenir et le soleil joue à cache cache avec les nuages.
Arrivés au col, nous sommes accueillis par un groupe de jeunes bouquetins.
Peu farouches, ils nous tiendrons compagnie durant notre pause dîner.
Il est temps de penser au retour.
Nous regagnons notre point de départ par le même itinéraire.
Avant de nous quitter, nous partageons encore une boisson au restaurant du barrage.  

12-13.07.2025 Deux jours de trekking au bivouac Longa (Macugnaga – I)

Cheffe de course: Erika C. 
Participants : 7+1 – Chantal J, Georges P, Laurence C, Monique B, Nicole M, Nicole Z, Pier Giorgio R  CAS MRS + Erika C.
 
Un week-end hors du temps au bivouac Bartolomeo Longa, CAI de Macugnaga.
Sept compagnons d’aventure et notre guide, l’inoubliable Erika.
Nous quittons Mondelli à 9h30, le ciel voilé offrant une lumière douce et complice, allégeant l’effort d’une montée rude mais ô combien gratifiante.
Le sentier serpente d’abord à travers une hêtraie majestueuse, puis s’enfonce dans un écrin de conifères, avant de s’ouvrir sur des paysages plus minéraux. Quelques touffes d’herbe tenaces nous rappellent le courage des anciens, qui menaient jadis bétail et espoir à travers ces vallées sauvages et isolées.
Après avoir franchi d’anciens alpages silencieux, gardiens d’une époque révolue, le bivouac tant attendu se dévoile enfin. Les sacs se posent, lourds de vivres et d’histoires à venir.
Nous aménageons notre refuge pour la nuit dans de petits abris rustiques, où matelas et sac de couchage suffisent à transformer l’austérité en promesse d’une nuit paisible.
Le bivouac est spartiate, dénué de confort, sans eau ni commodités. Mais l’essentiel est ailleurs : dans la simplicité, le partage et cette précieuse autonomie que seule la montagne sait offrir.
Portés par la joie d’être là, ensemble, nous improvisons un festin montagnard : apéritif à la valaisanne, risotto safrané aux luganighetta mijoté avec soin, salade de fruits parfumée de fraîcheur.
Le vin rouge réchauffe les cœurs, les tisanes et le café prolongent la veillée, au rythme des récits d’aventures passées et des légendes que murmure Erika, gardienne des histoires oubliées.
À l’aube, la brume enveloppe le monde d’un voile de mystère.
Le petit-déjeuner, simple et réconfortant, nous donne l’élan nécessaire pour reprendre le chemin du retour.
Tout au long de la descente, le ciel reste couvert, mais la pluie nous épargne, comme un dernier clin d’œil bienveillant de la montagne. À Mondelli, Erika et son mari nous ouvrent les portes de leur maison séculaire, empreinte d’histoire et de chaleur, pour un ultime repas partagé dans la convivialité.
Puis vient l’heure des adieux, des embrassades sincères, avant que chacun reprenne la route vers le Valais, le cœur plus léger et l’âme riche d’une aventure qu’on n’est pas prêt d’oublier.
 

05-06.07.2025 OFENHORN (Punta d’Arbola) 3235m : Un sommet « inconnu » de dernière minute.

Chef de course: Marcel D.
Participants : 7 – Marcel D, Virginie P, Thomas N, Elisabeth D, Olivier B, Annick B. CAS MRS / Jean-Louis H CAS MV
 
Par désespoir de trouver des places, à la Oberaarjochhütte, malgré une réservation faite au mois de janvier, je tombe sur ce sommet improbable, histoire de ne pas lâcher mes participants.
C’est parti, avec une voiture pleine, direction Binntalhütte 2267m, deux autres participants nous rejoindront plus tard à la cabane.
Une belle randonnée, peu de monde sur le sentier, avec, en prime, une baignade dans un torrent, pour des femmes courageuses, peu avant l’arrivée en fin d’après-midi.
Tout ce petit monde ayant pris ses marques, j’en profite pour aller reconnaître le début du parcours, très peu marqué, qui risque d’être compliqué au petit matin et, personne, du personnel à la cabane, n’est en mesure de me renseigner, certains ne connaissent même pas ce sommet.
Après une belle soirée de rigolade, tout le monde au dodo, pour un lever et petit-déjeuner à 04:30.
Une demande spéciale faite au « chef-gardien » qui prend son rôle très à coeur et qui nous assure qu’il sera prêt en libre service car l’heure habituelle est à 07:00.
Beaucoup trop tard pour nous, compte tenu des parties neigeuses et des risques de chutes de pierres.
Départ donc à la frontale et un bel exercice de recherche d’itinéraire dans un mélange de vires herbeuses, pierriers et névés sans aucune trace récente avant la courte mais copieuse grimpette au Eggerscharte 2857m.
La descente du couloir terreux et rocailleux, sur le versant italien (Val Devero) est à un point glissante et instable que la pose d’une corde fixe et le passage « un par un » est nécessaire.
J’envisage déjà un autre passage plus confortable et pas nécessairement plus long pour le retour.
Nous voici donc sur un itinéraire italien bien enneigé et quelques pentes bien raides, qui nous permettent de prendre rapidement et assez facilement de l’altitude sans devoir slalomer dans les pierriers.
L’état de la neige nous permet tout juste d’éviter les crampons et j’en profite pour une petite instruction « comment enrayer une glissade avec son piolet » que tout le monde appréciera sans toutefois devoir la mettre en pratique.
Le groupe, motivé et homogène, avance bien et nous tenons l’horaire jusqu’au glacier d’Arbola.
A cet endroit, les nuages et la visibilité réduite me font commettre une erreur d’appréciation et nous passons sous le Ofenhorn, sans le voir et nous nous dirigeons sur un petit sommet isolé (3191m), tout proche et accessible sans grande difficulté.
Le petit moment d’euphorie passé, nous restons les yeux fixés sur la croix du sommet voisin qui pointe entre les nuages.
Crotte !!! Le Ofenhorn dans toute sa splendeur !
A peine plus haut que notre sommet et à portée de main, mais, voilà… une courte arrête rocheuse à remonter et qui nous inspire à peine, vue de notre position.
Comme mon petit sondage reste très indécis, je propose qu’on redescende déjà jusqu’au petit col, entre les deux sommets et je prendrai quelques minutes pour aller me rendre compte de l’état réel de cette petite arrête.
Celle-ci s’avère beaucoup plus engageante que soupçonnée, avec une enfilade de gros blocs bien stables et une petite grimpette agréable jusqu’à la croix que nous rejoignons rapidement et sans risque.
Comme diront certaines « on aura eu deux sommets pour le prix d’un ».
Même si ce petit imprévu nous aura pris peu de temps supplémentaire, nous ne tardons pas à redescendre pour s’assurer de bonnes conditions sur les pentes en neige et pouvoir « rutcher en bas » sans trop brasser.
Nous rejoignons assez rapidement la fameuse remontée jusqu’au Eggerscharte que nous franchirons par un passage bien plus agréable et sécurisant. (le topo CAS est vraiment à revoir sur cette course !).
La dernière montée sérieuse de la journée, avant la longue descente du vallon, jusqu’à la cabane, sur un tracé à peine marqué et au balisage fantomatique.
La cabane que nous atteignons en début d’après-midi, pour une bonne pause bien méritée.
Malgré une petite course assez intense, la fatigue ne se fait pas trop ressentir et, après un bon petit ravitaillement et un moment de calme, nous reprenons nos sacs pour la descente dans la vallée, jusqu’à Fäld, par l’autre rive de la Binna.
Comme toute course de montagne qui se respecte, l’après-midi se termine sur une terrasse avec une bonne bière à la main et le sentiment du devoir accompli.

28-29.06.2025 Weissmies par la Rotgrat (AD–) 

Chef de course: Vincent B.
Participants : 6  – Deborah, Louis, Yannick, Olivier, Shane, Vincent. 
 

Rendez-vous donné à Sierre le samedi, 9h du matin. Nous sommes six, trois cordées. Une belle équipe, équilibrée, motivée. Ça sent bon l’ambiance alpine, avec ce qu’il faut de bonne humeur pour lancer positivement la journée.

Direction Saas-Almagell. Montée efficace jusqu’à l’Almagellerhütte, à 2894 m d’altitude. Délicieux rösti du gardien — on recommande vivement. On profite de l’après-midi pour repérer les lieux, ajuster le matériel et s’offrir une petite sieste. L’ambiance est détendue, la météo prometteuse. Souper à 17h45. On se couche tôt, car le réveil est programmé pour 3h45.

Après un petit-déjeuner bien matinal, départ à la frontale dans un pierrier qui se charge de nous réveiller si ce n’était pas déjà fait. L’approche est bien marquée, la progression régulière. Chacun trouve son rythme, les cordées avancent de manière fluide. Le jour se lève rapidement, on range les frontales et les vestes : la canicule ne nous a pas oubliés, même en montagne. On restera en t-shirt ou simple pull jusqu’au sommet.

Au loin, la Rotgrat se découpe. Plus on s’en approche, plus elle s’affirme, et porte bien son nom avec ce rocher aux reflets rouges. Au pied de l’arête, on sort les cordes et le matériel d’escalade. L’ambiance devient plus alpine, l’altitude aussi.

C’est parti : la section rocheuse commence par un ressaut raide qui donne tout de suite le ton. On accède ensuite au fil de l’arête, fine et esthétique. Le rocher est sec, adhérent, les protections se placent facilement. Quelques dalles, une belle ligne aérienne, du rocher sain et un tracé logique. Pas trop technique, mais exigeant. Il faut rester concentré. Quelques pauses pour se regrouper, se ravitailler, et bien sûr immortaliser l’instant.

Avant de rejoindre le glacier, l’arête devient mixte. On chausse les crampons pour cette dernière section. Le glacier est bien bouché, les crevasses discrètes — mais la vigilance reste de mise. Puis vient la dernière pente, entre 35° et 40°, avant le sommet. Les jambes tirent, les souffles raccourcissent, mais les visages s’illuminent. On atteint les 4017 m. Photo de sommet, embrassades, petit casse-croûte rapide. On est dans le timing, mais on ne s’attarde pas : avec la chaleur, mieux vaut entamer la descente sans tarder.

La descente par la voie normale vers Hohsaas demande encore de l’attention. Le soleil tape, la neige ramollit, mais le glacier reste coopératif. On rejoint Hohsaas sans encombre, plus légers, plus soudés. Et là, le classique : la terrasse, les bières fraîches, et les sourires qui en disent long.

08.06.2025 Randonnée à pied Gredetschtal depuis Mund.

Chef de course: Jérôme C.
Participants :

11-12-13.04.2025 Week-end en montagne entre la Suisse et l’Italie.

Chef de course: Thomas N-S.
Participants : 12+2 guides (Sébastien R. et Rémy J.)
 

C’est le vendredi 18 avril à 7h30 que notre joyeuse équipe se retrouve à Fäld, un hameau perdu tout au fond du fond de la Binntal du Haut-Valais. Les sacs (bien remplis) sur le dos, les skis aux pieds, nous entamons notre ascension en direction du Grosses Schinhorn. Là-haut, le spectacle nous coupe le souffle qu’il nous reste: ciel parfaitement dégagé, soleil radieux et vue panoramique sur les sommets encore bien enneigés. Ensuite, place à la descente vers le petit village de Crampiolo à l’Alpe Devero qui sera notre camp de base pour deux nuits. Au programme : détente au soleil, orteils à l’air libre, bières fraîches, repas « dolce vita » et une nuit de repos bien méritée.

Le samedi, cap sur le Schwarzhorn, l’ascension se révèle aussi exigeante qu’inoubliable. Le portage est plus long que prévu, la faute au manque d’enneigement mais la remise des peaux se poursuit dans un décor splendide. L’approche nous conduit au pied d’un couloir de 300 m, que nous grimpons en deux cordées, crampons aux pieds et piolet en main. Arrivés en haut, nous nous hissons sur une longue et magnifique arête. Lorsque nous atteignons le sommet, le vent et le brouillard se lèvent brutalement ce qui nous pousse à redescendre sans tarder dans une neige lourde et exigeante. Éprouvant… mais grandiose. De retour à l’Alpe Devero, nous trouvons le réconfort d’un bon repas et l’accueil chaleureux de nos hôtes italiens.

Dimanche matin, réveil sous la pluie. L’étape finale consiste à rejoindre Fäld par un autre itinéraire plus direct. Brouillard, humidité et fatigue se joignent à nous mais en franchissant notre dernier col, le soleil se dresse en apparition surprise. Sourires retrouvés, esprits ragaillardis : nous terminons cette belle aventure, nos mémoires pleines de souvenirs. Un immense merci à toutes et tous pour ce week-end intense, parfois rude, mais inoubliable. À très vite sur les skis ou les sentiers !

Mathilda G. et Deborah W.

15.03.2025 Sortie à la Pointe de Tourtemagne en peau de phoque

Chef de course: Vincent B.

Participants : 7

Partis de Saint-Luc, nous rejoignons Tignousa en funiculaire avant d’entamer l’ascension à ski. La météo annoncée couverte nous laissait craindre un jour blanc et du vent, mais le Val d’Anniviers en a décidé autrement.

Après une belle montée, nous déposons les skis 50 m sous le sommet et atteignons la croix sommitale à pied. Puis, contre toute attente, le soleil nous gratifie d’une descente en neige poudreuse. L’instant est si parfait que nous remettons les peaux pour s’offrir une seconde descente sous le Boudri.

Retour à Saint-Luc heureux, pour savourer une bière bien méritée. Une belle journée en montagne !

 

Vincent B.

01.03.2025 Vallon de Rechy

Chef de course: Joël P.
Participants : 11
 

Objectif : Vallon de Réchy.
Départ du Mayen des Praz passant l’Arpette jusqu’au point 2731m descente couloir est jusqu’au point Gouille de la Grand-Rionde. Là nous avons divisé le groupe en 2 parties avec mon binôme lui est parti direct au Becca de Lovegno puis descendre la face.   Mon groupe nous somme partis à la cabane des Becs puis Becca Lovegno descente et rejoindre l’autre partie du groupe pour la descente finale jusqu’à la voiture. .

Joël P.

15.02.2025 Torrenthorn

Chef de course: Joël P.
Participants : 9
 

Objectif  prévu Torrenthorn – Mauerhorn – Ferdenpass – Leukerbard.
Comme les conditions n’était pas top avec le risque d’avalanche ont à décidé de changer d’itinéraire.

Départ sur Torrenthorn puis descente sur Wyssesee.
Nous sommes allés Restipass pour admirer la vue sur le Lötschental.
Retour pour sur Horlini. 

Malheureusement lors de la descente Tiffany s’est fracturé la jambe.
Elle a dû être héliporté.  

Joël P.

14.02.2025 Sortie au claire de lune à l’Illhorn

Chef de course: Adrien P.
Participants : 12
 

La sortie s’est déroulée sur un schéma classique, c’est-à-dire une montée sur le rando parc jusqu’au sommet des installations, puis la descente jusqu’à la cabane. Nous avons partagés une bonne fondue et sommes tous rentrés, pas trop tard dans la vallée.

Adrien P.

09.02.2025 Sortie Free-Ride à GrimentzZinal

Chef de course: Thomas N-S.
Participants : 4+1
 

La journée s’annonce très belle à Grimentz!

Avec, en plus, une bonne compagnie, tout s’annonce merveilleux! Tout? Non pas vraiment, la neige de qualité ne sera pas au rendez-vous aujourd’hui, et c’est un euphémisme.

Mais alors, après s’être échauffés sur la piste non damée de l’abondance et avoir constaté une neige un peu trop travaillée par le soleil et la règle, nous avons décidé de changer un peu d’objectif sur cette sortie Free-Ride à Grimentz-Zinal.

En effet, les descentes étant moins alléchantes que ce que nous aurions pu espérer, nous avons décidé de quand même sortir les peaux du sac.

Nous sommes alors d’abord monté à la cabane des becs de bosson pour tous y manger un excellent rösti et profiter d’une vue époustouflante par ce temps clair et ensoleillé!

Après une bonne longue pause et quelques kilos de plus, nous avons quand même repris les skis en direction du basset de Levron. Les cuisses un peu raplapla, d’un commun accord nous avons alors décidé de descendre sur le barrage de Moiry non sans regarder du coin de l’œil la belle combe du Col du Torrent, à l’ombre, à droite, qui aurait pu peut-être nous apporté une belle descente de poudreuse.

Enfin, suite à un rafraîchissement bien mérité au bar après-ski du Tsirouc pour un petit débriefing, nous avons fait nos adieux une fois de retour dans la vallée du Rhône.

Vu les retours du débrief’, quelque chose me dit que cette sortie sera de nouveau au programme l’année prochaine, mais cette fois-ci avec un beau manteau de poudreuse! On y croit très très fort 🤞🤞🤞

Thomas N-S

25.01.2025 Sortie dans le domaine d’Unterbäch : Ginaslhorn (3026m) et Altstafelhorn (2838m)

Chef de course: Thomas N-S.
Adjoint : Thibaut B.
Participants : 9+2
 

 Cette course au-dessus du domaine d’Unterbäch avec Thomas, notre chef de course, fut ma première course depuis que j’ai rejoint le club.
Le choix de l’endroit, très réussi. Météo parfaite.
La montée avec les peaux au Ginalshorn 3026m était spectaculaire.
Les vues incroyables.
Cependant, le rythme était rapide et j’étais reconnaissant d’arrêter de respirer et d’observer le paysage.
Après la descente agréable, neige fraîche bien poudreuse, une partie du groupe a continué pour une autre montée vers un deuxième sommet, tandis que Tony et moi nous les avons attendu, épuisé, dans un restaurant dans le domaine d’Unterbäch.

Maria P-R

Ainsi, dans le domaine d’Unterbäch, notre randonnée à ski a pris une nouvelle dimension après la première montée au Ginalshorn. Tandis qu’une partie du groupe prenait une pause bien méritée, les plus motivés ont poursuivi en direction de l’Altstafelhorn, soutenus par une excellente cadence et une envie partagée d’atteindre le sommet. Une fois au sommet, la vue était époustouflante : le Weisshorn se dressait majestueusement, entouré d’autres sommets alpins sublimes. La récompense ultime fut une descente mémorable en neige fraîche et poudreuse, une expérience qui restera gravée. Merci à notre chef de course Thomas pour cette aventure parfaitement orchestrée !

Nolan G

18.01.25 Sortie à ski LOOK RETRO avec repas à la cabane Illhorn

  

Aujourd’hui, nous avons eu le plaisir de participer à une sortie exceptionnelle organisée par le CAS de Sierre, sous le thème rétro. Ce fut une journée remplie de charme et de nostalgie, où chaque détail évoquait une époque révolue, mais toujours aussi fascinante. Les photos capturées témoignent de l’atmosphère unique qui régnait : des tenues d’époque soigneusement choisies, des sourires chaleureux et des paysages alpins à couper le souffle en toile de fond. Chaque cliché raconte une histoire, un moment de partage et d’amitié, dans un cadre qui mêle tradition et convivialité. Plongez dans cette galerie d’images et laissez-vous emporter par le charme intemporel de cette journée mémorable. Un grand merci à tous les participants pour leur enthousiasme et leur authenticité, qui ont fait de cet événement une véritable réussite.Merci a Anne-Lyse pour l’organisations

Pier Giorgio, prèsident.